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Hafid Marbou
Vit et travaille à Agadir
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Marbou revisite les enfances. Celles de l’originel et du présent. Il ne jure que par son rapport viscéral à la Nature. Notre nature à tous, en somme. Mais, chez lui, les choses sont plus « ombiliquées ». Il appelle cela le « traitement des matériaux » inscrits dans les espaces du jeu. Ce qui est un enjeu hautement significatif et déterminant. Il pense avoir intégré, en quelque sorte, les matériaux dans son monde intérieur, depuis, par exemple, le jeu organique de la glaise. Par son acte pictural, il chercherait à célébrer cette communion et à éviter les faux-semblants.
Une vue microscopique et anatomique sur le réel de naguère, et qui s’ouvre sur les possibilités d’un relatif abstrait pictural.
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