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Hassan Echair

Vit et travaille à Tétouan

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Ce qui intrigue d’emblée dans le travail de Hassan Echair, c’est sa démarche. Qui mieux que lui peut en traduire l’esprit : « mon équilibre tient en trois choses : la première m'attache et me retient là-haut, puis une autre m'attire et s'enracine vers les profondeurs ; entre les deux un flottement, une recherche d'équilibre, des liens, des attachements. » Le bois, le charbon, la pierre, le papier, les fils, et bien d’autres. Mis ensemble, retravaillés, désorientés, ils produisent des sens éphémères à l’image du temps qui passe. En peinture ou en installation, les jeux d’ombre et de lumière, les continents carbonisés et les bambous chaulés, les parapluies déséquilibrés et les balançoires flottantes donnent toute la mesure d’un art de la recherche permanente de ce caractère indicible de la vie.

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